vendredi, novembre 03, 2006

DE PROFUNDIS MORPIONIBUS



Allez on se lance. En fait ça fait des semaines qu'on s'auto-censure ici à K-Zazylum et qu'on creverait de partager avec notre lectorat une question qui nous taraude depuis qu'on s'est exilés au Maroc.

Observez bien cette photo. Qu'y voit-on? Six jeunes casablancais sortant de l'école. Bien. Mais encore? Quoi vous remarquez rien? Deux d'entre eux se grattent les couilles. Et c'est bien là qu'on veut en venir.
Oui, à Casablanca et partout ailleurs au Maroc, on dénombre une quantité absolument indécente de mecs se baladant tranquillement sur les trottoir des villes tout en se grattant distraitement les couilles.
Non, public européen, tu n'as aucune idée de l'ampleur du phénomène mais crois moi c'est absolument extraordinaire. Impossible d'y échapper. Pas une journée sans que notre regard médusé ne tombe sur un flagrant délit de grattage de couilles, dans les rues, au restau, dans les boutiques, sur la plage, dans l'ascenseur.
Evidemment, doté d'un fort esprit d'investigation, nos reporters se sont penchés sur le problème et ont mené enquête, mais sans aucun resultat.
Seule hypothèse récoltée lors de nos sondages : "la mauvais qualité du slip marocain"
Certes certes, mais dans ce cas le phénomène devrait se limiter aux couches populaires. Il n'en n'est rien. Les riches aussi se grattent les couilles, tout le monde ici semble être en proie à des démangeaisons incontrolables. Alors quoi?
Quelqu'un pourrait nous éclairer?

2 commentaires:

Anonyme a dit…

c'est pourtant simple, les modifications de la moudawana sont quelques peu castratrices non!? pour des mâles aussi machos que les notres..disons, maintenant ils ont souvent souvent de vérifier s'ils en ont toujours !! :))
la preuve, l'ancienne génération, eh ben t'en as déjà vu qui se tatent pardessus leur djellaba..NON !!..:))
bonne continuation

Najlae a dit…

il était temps que quelqu'un lève le voile sur une des pratiques les plus digoulasses et les moins fructueuses de notre bô pays. mais à mon avis,c'est à la gent masculine d'éclairer nos lanternes