vendredi, octobre 05, 2007

ENNUI, TABAC, ET AUTRES TRACAS


Montesquieu avouait ne jamais avoir connu de peine qu'une heure de lecture n'ait pulvérisée. Mais l'inventaire des bienfaits de la lecture ne s'arrête pas là. Prenons le Ramadan et ses trente jours somnamuliques. Nous le disions précédemment, le sentiment dominant chez l'étranger c'est l'ennui, car le Ramadan est avant toute chose une dilatation quasi-galactique du temps, une sorte de Big-Bang temporel, et la lecture, une façon de pulvériser notre désoeuvrement, une arme de contraction massive. Ah ! retractation, mon Amour.

Ceci dit, passons à la thématique du jour : le tabac.

Non on vous fera pas le coup de la correllation négative entre le niveau de développement d'un pays et son taux de tabagisme... trop facile...

Abordons plutôt les deux seuls auteurs, qui, à notre connaissance, formulent peu ou prou, quelques considérations sur le sujet.

Pour SigSig Freud, la tabagie offre purement et simplement un subsitut à l'onanisme.
Pour Sartre, le fait de fumer est lui aussi un substitut, mais au désir de crémation du monde entier.

Dans les deux cas, à défaut d'une masturbation en bonne et due forme, ou d'une consumation généralisée et planétaire, on se contente d'un substitut, bien utile si l'on en juge par les extrêmes auxquels, à défaut, on se trouverait réduit.

Et où voulions nous en venir en commençant ce post.... plus la moindre idée. A toi de terminer, lecteur.

1 commentaire:

7didane la7rami a dit…

J'ai rien à dire.

Si si ... mais c'était la corrélation justement.

A NY c'est has been la cigarette.

Bon bref, je ferme ma gueule. Je ne dis rien de bien intéressant.