On peut, comme nous, rejeter violement tout l'esthétisme des années 80 et ne rien regretter de cette décénie sacrifiée sur l'autel du mauvais goût et des synthés kitscho-plastic-pop.
UB40 ne déroge pas à la règle, pochettes d'albums comme sorties d'un studio de créa burkinabé, mélodies pourries de synthé type Yamaha DX7 et de saxo nous renvoyant à l'horreur sonore d'un "Neuf semaines et demi", excepté peut-être pour celle-ci?
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