Non, le sarkom nicolas n'a pas le monopole de la création de nouveaux ministères, Rachida Dati aussi :
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jeudi, avril 12, 2007
lundi, mars 05, 2007
SOUTIEN POSTAL

"Au lendemain d’une conférence de presse donnée à Paris par Nicolas Sarkozy au cours de laquelle il exprimait sa vision de la politique extérieure française, Guysen Israël News apprenait qu’un timbre israélien à l’effigie du candidat UMP avait été créé par son comité de soutien en Israël."
Sarko Stamps
Initiative peu problable de voir le jour en France où l'on risquerait de cracher du mauvais coté dudit timbre...
dimanche, mars 04, 2007
LA TRACE DE LA MEDUSE

Faudrait pas croire que le soleil soit le meilleur des désinfectants, parfois le mal refait surface et le calmar qui nous tient lieu de cervelle inonde notre rétine de son encre noire, c'est Paris qui nous revient, son angoisse qui nous coule par les muscles, notre living-room obscurci par des nuages de mouches à hantise, o Paris, foires aux nausées, centrifugeuse à tuberculeux, pays des âmes mortes, noyées, terre arctique, amoniaquée pour souffreteux et glorieux.
Ici, quand Paris nous réapparait, c'est toujours accompagné d'une pensée pour les racailles, et peu importe leurs origines à ces sauvages, c'est pas le propos, on pense à la racaille et on la glorifie même, car c'est d'elle que viendra le sursaut salvateur, l'onde atomique qui précédera l'été de la résurrection nucléaire de ma vieille France.
Qui d'autres que les racailles pour initier une bonne guerre civile? La classe politique? Sans commentaire... La jeunesse bourgeoise ou même middle-class, escargots farcis de la perplexité admirative, guimauve abrutie par le conditionnement au spectacle, à la play-station et à Meetic? Les classes ouvrières, les employés de bureaux domestiqués, trop occupés à balayer devant leurs petites portes, à sécuriser leurs maigres acquis, perdu comme des vierges dans la contemplation de leur nombril? Non plus...
La France n'a pas tant besoin d'ordre que de désordre, le pays ne renaîtra que par le chaos, tabula rasa et exit les cracheurs d'espoir pour mangeurs de soupes, leurs hystéries de gorges, paroles de rhumes, emberlificoteurs de foules...
Et pourtant la racaille est encore fébrile... depuis le temps que ses rappeurs portes voix, l'exhorte à foutre le feu. C'est pourquoi la pieuvre cérébrale qui préside la chair muraille de notre être exilé en arrive parfois à nous faire espérer une intronisation royale et tambourinante d'el nino Nicolas et de son Sarko-Circus, élément instable de la chimie nationale qui par sa seule accession au pouvoir devrait rapidement amener notre chère caillera à l'émeute généralisée. Emeute dont pourrait profiter d'autres fractions libertaires ou platement révolutionnaires... mais on se prend déjà à rêver ici au Casablancasylum... opium nécessaire, sinon comment envisager un jour notre retour dans cette patrie tournée vinaigre?
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jeudi, février 15, 2007
IN VINO VERITAS

"Le bouquet du vin est, ô combien, plus friand, riant, priant, plus céleste et délicieux que celui de l'huile! Et si l'on dit de moi que j'ai dépensé plus en vin qu'en huile, j'en tirerai gloire au même titre que Démosthène, quand on disait de lui qu'il dépensait plus pour l'huile que pour le vin. Ce n'est pour moi qu'honneur et gloire, que d'avoir une solide réputation de bon vivant et de joyeux compagnon; à ce titre, je suis le bienvenu dans toutes bonnes sociétés de Pantagruélistes. Un esprit chagrin fit à Démosthène ce reproche que ses Discours avaient la même odeur que la serpière d'un marchand d'huile repoussant de saleté."
Gargantua - Prologue.
Quand on vous dit que l'esprit du temps empeste la moraline, la préservation, l'économie libidinale et la vie saine!
Prenez nos élus. Autrefois, on les trouvait crachant joyeusement gauloises sur gauloises sur des plateaux télés embrumés comme des tableaux de Turner, leurs alvéoles goudronnées comme le tarmac d'Heathrow, s'amourachant de grands crus et de plats en sauce.

Et on repense à Chirac, ses deux baguettes par jours, ses 1664 en pagaille, un côté noceur qui nous déplaisait pas à nous au Casablancasylum. Et Churchill :

"Le secret de ma vitalité ? Je n'ai dans le sang que des globules rouges : l'alcool a tué depuis belle lurette tous mes globules blancs..."
ou encore
"Après la guerre, deux choix s'offraient à moi : finir ma vie comme député, ou la finir comme alcoolique. Je remercie Dieu d'avoir si bien guidé mon choix : je ne suis plus député !"
Aujourd’hui, nos présidentiables avancent le teint pâle, la langue ridiculement rose, tristement maigres et austères. Prenez par exemple Nicolas Le Sarkome. On sentait déjà chez lui le régime, la culture du "Mens sana in corpore sano". Le genre de type qui se surveille et ne se laisse pas aller. Inquiétant quoi. On sait depuis l’émission « Chez FOG » sur France 5 qu’il n’aime pas le vin. A la question : « Quel est votre vin préféré ? », il a répondu : « Je ne bois pas. »
Dans ma famille, on m’a toujours dit de me méfier des gens qui ne boivent que de l’eau et je garde encore le souvenir de ce vieil oncle ludion savamment imbibé qui ne se lassait jamais de nous répéter "quoi?! moi? boire de l'eau... pour me retrouver avec des tétards dans l'estomac!".

Sarkozy, c’est pire. Pendant ses repas, il prend du Coca-Cola. On comprend mieux son côté atlantiste. Ce qui nous rappelle au souvenir de Baudelaire : "Un homme qui ne boit que de l'eau a un secret à cacher à ses semblables."
Bertrand Delanoë avait déjà bradé, en octobre dernier, 5000 bouteilles de premiers crus classés de la cave de l'Hôtel de Ville de Paris pour parer à une inondation de la Seine, avait-il expliqué. Est-ce que Sarkozy en fera de même avec la cave du palais de l’Elysée s’il est élu en mai Président de la République ?
Le pire reste à venir...
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jeudi, décembre 07, 2006
CA COCOTTE DUR
Gaffe à la transition mes chéris, on est encore loin de maitriser ces logiciels de coupe-coupe vidéo, on vous balance donc deux séquences en une.
La première, vous la reconnaitrez facilement.
La deuxième, sous la présidence de VGE, avec évidemment notre héro en premier ministre japonisant.
La première, vous la reconnaitrez facilement.
La deuxième, sous la présidence de VGE, avec évidemment notre héro en premier ministre japonisant.
mardi, octobre 24, 2006
LECON DE POST-HISTOIRE. PART I.
Aujourd'hui :
POURQUOI LOIC LEMEUR EST-IL SI POPULAIRE ?

Pour la simple et bonne raison qu'il n'a rien à dire, et nous allons vous le prouvez.
Loic Lemeur est un valet de l'ordre ambiant, la pouffiasse de la modernité : demonstration.
La modernité c'est la disparition du négatif, devenu, par coup de force sémantique, synonyme de nihilisme. Il s'agit donc d'imposer un treizième commandement : "tu seras positif". Il y a aujourd'hui beaucoup d'agents de la disparition du négatif, ce sont nos nouveaux épurateurs, ceux que Philippe Murray surnommait "les nouveaux actionnaires" , les nouveaux actionnaires de la société anonyme Nouveau Monde. Et ce n'est pas le sourire abruti de Lemeur en haut-de-page de son blog qui nous contredira, ni ses posts et podcasts sur les acteurs de la bienpensance et du spectacle politique français... Lemeur c'est la modernité réchauffée, touillé à sa sauce "démocratie 2.0", la démocratie terminale.
Et si le politiquement correct est l'expression frigide du nouveau monde mort, Lemeur en est son porte étendard.
Son obeissance et son absence totale d'étonnement face au monde dont il parle, et tout cet amas de discussion se ramène rapidement à moins que zéro car sa manière decritiquer méconnait qu'elle est profondément une apologétique. ET elle ne pourrait être autre chose que si elle partait à chaque fois d'une position étonnée, c'est à dire étrangère à l'objet de l'étonnement.
Pour reprendre Murray : "le problème c'est que les faits, depuis quelques années, se sont mis en marche dans des directions dont on ne peut même pas s'étonner, parce qu'il est difficile de les voir"
Casablanca Asylum, se lance donc dans un cycle de "Leçons de post-histoire", afin d'apporter à vos yeux endormis une lumière désinfectante. A suivre....
Aujourd'hui :
POURQUOI LOIC LEMEUR EST-IL SI POPULAIRE ?

Pour la simple et bonne raison qu'il n'a rien à dire, et nous allons vous le prouvez.
Loic Lemeur est un valet de l'ordre ambiant, la pouffiasse de la modernité : demonstration.
La modernité c'est la disparition du négatif, devenu, par coup de force sémantique, synonyme de nihilisme. Il s'agit donc d'imposer un treizième commandement : "tu seras positif". Il y a aujourd'hui beaucoup d'agents de la disparition du négatif, ce sont nos nouveaux épurateurs, ceux que Philippe Murray surnommait "les nouveaux actionnaires" , les nouveaux actionnaires de la société anonyme Nouveau Monde. Et ce n'est pas le sourire abruti de Lemeur en haut-de-page de son blog qui nous contredira, ni ses posts et podcasts sur les acteurs de la bienpensance et du spectacle politique français... Lemeur c'est la modernité réchauffée, touillé à sa sauce "démocratie 2.0", la démocratie terminale.
Et si le politiquement correct est l'expression frigide du nouveau monde mort, Lemeur en est son porte étendard.
Son obeissance et son absence totale d'étonnement face au monde dont il parle, et tout cet amas de discussion se ramène rapidement à moins que zéro car sa manière decritiquer méconnait qu'elle est profondément une apologétique. ET elle ne pourrait être autre chose que si elle partait à chaque fois d'une position étonnée, c'est à dire étrangère à l'objet de l'étonnement.
Pour reprendre Murray : "le problème c'est que les faits, depuis quelques années, se sont mis en marche dans des directions dont on ne peut même pas s'étonner, parce qu'il est difficile de les voir"
Casablanca Asylum, se lance donc dans un cycle de "Leçons de post-histoire", afin d'apporter à vos yeux endormis une lumière désinfectante. A suivre....
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